Les gens de Bilbao naissent où ils veulent de Maria Larrea, éditions Grasset
1943, Bilbao, Victoria et Julian sont abandonnés dans un orphelinat à leurs naissances. Des dizaines d’années plus tard viendra le récit de l’enfance de la narratrice, à paris où elle vit avec ses parents dans une loge de gardien de théâtre au cœur des beaux quartiers. A 27 ans, un tirage de tarot amène la narratrice à s’interroger sur son passé, ses origines, son identité. Cette autofiction balie les années franquistes et le scandale du trafic des nouveaux nés. On est embarqué immédiatement par le style percutant et rafraîchissant de ce premier roman !
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